Robert Farel
Purée et boudin avec les "R"
Robert "Bob" Farel encore un artiste 80's qui a fait un gros tube "Les petis boudins" et 4 autres singles dans l’anonymat total.
"Rue des mauvais garçons" sorti en 1988 est dans la lignée du single précédent : Pas de surprise, la même (presque) pop.Un disque qui aurait pu être chanté par plein d'artistes de cette époque. Du bon, comme tu mauvais, ici c'est plutôt pas mal, ça reste encore assez frais et me pousse à préférer "Une seule balle pour toi" qui est supérieur musicalement et que l'on peut écouter plusieurs fois de suite sans trop se lasser.
1) Rue des mauvais garçons (R. Farrel - Claude Bouillon)
2) Une seule balle pour toi (R. Farrel - Claude Bouillon)
Production Hurbier et Bob Farel
℗ 1988
Robert Farel 88
Je suis toujours content quand je peux ranger un de mes disques... ;-)
RépondreSupprimerC'est de la bonne pop-rock typique de l'époque (c'est à dire avec les rythmes mis e avant au détriment de la mélodie) dans laquelle on sent plus sa touche personnelle que sur les Boudins.
LA touche de sax apporte un plus sur la face B
C'est vrai que cette face B est assez bien réussie et cette partie sax comme tu dis est parfaite.
SupprimerEstampillé new wave. Pas désagréable à écouter, c'est même sympa !
RépondreSupprimerMais je pense qu'il a eu du mal à supporter la comparaison avec les noms que le Doc a mis en avant. Chanteur perdu :-()
SupprimerPour suivre du Conniff c'est une transition parfaite.
RépondreSupprimerFarel n'a jamais pu profiter du succès des Boudins gainsbourgeois en proposant ses compos beaucoup moins personnelles et originales. Donc un artiste one hit wonder pour toujours. C'est pas mauvais mais ça n'arrive pas à rivaliser avec Niagara, Daho, Indochine et les autres.
Encore une étoile filante.
Le grand écart fera bientôt partie des disciplines olympiques, alors demain j'hésite avec le post ... à suivre !
SupprimerEt en plus il y a un maxi alors on ne sait jamais, Je viens de me trouver un nouveau disquaire qui détient des mines ... alors je visiterais plus à fond les années 80. On sait jamais (tu l'as déjà dit TTMK) :-()
RépondreSupprimerCertes, mais il commence son texte avec un gimmick de Gainsbourg, 12 belles dans la peau. C'est un copieur sans envergure
RépondreSupprimer