Françoise Rime
Le Troubadour du château de Gruyères
Françoise Rime, est une artiste Fribourgeoise, tout comme notre chère Arlette Zola. Elle sortira quelques disques dans les années 60/70 et à mon souvenir elle passait pas mal à la radio (chez nous). Ce 45 tours est composé de 2 jolies ballades, genre folk, fort agréables et qui n'ont pas pris une ride, c'est tout joli joli.
Extrait de sa bio-article :
TV
et Eurovision
Ses vrais débuts, Françoise les effectue en 1967. Son père l’encourage à participer à un concours de la Télévision Suisse romande. Elle y chante la Farandole de la Belle Luce et du comte de Gruyères, de Benoît Rime, qui restera sa chanson fétiche. Les téléspectateurs l’adoptent d’emblée: Françoise Rime gagne le concours. Elle a 23 ans. Ensuite, tout s’enchaîne. Son premier album paraît en 1968. Elle va multiplier concerts et galas, comptabiliser une centaine de passages à la TV, sortir plusieurs disques. Toujours avec le soutien de son père: «Il m’a portée et stimulée.» A deux reprises, elle tente sa chance à la finale suisse de l’Eurovision de la chanson, en 1974 avec "On se dira toujours je t’aime", de Pierre Alain, puis, en 1978, avec "Quand l’amour rencontre un jour" une chanson, d’Alain Morisod. «J’étais et je reste romantique», sourit-elle à l’évocation de ces titres.
Ses vrais débuts, Françoise les effectue en 1967. Son père l’encourage à participer à un concours de la Télévision Suisse romande. Elle y chante la Farandole de la Belle Luce et du comte de Gruyères, de Benoît Rime, qui restera sa chanson fétiche. Les téléspectateurs l’adoptent d’emblée: Françoise Rime gagne le concours. Elle a 23 ans. Ensuite, tout s’enchaîne. Son premier album paraît en 1968. Elle va multiplier concerts et galas, comptabiliser une centaine de passages à la TV, sortir plusieurs disques. Toujours avec le soutien de son père: «Il m’a portée et stimulée.» A deux reprises, elle tente sa chance à la finale suisse de l’Eurovision de la chanson, en 1974 avec "On se dira toujours je t’aime", de Pierre Alain, puis, en 1978, avec "Quand l’amour rencontre un jour" une chanson, d’Alain Morisod. «J’étais et je reste romantique», sourit-elle à l’évocation de ces titres.
1970
1) Mes chagrins sont revenus (Jean-Pierre Skawronski)
2) Fille des forêts (Gaston Schaefer - Henri Dès Arr : Jean Bouchéty)
C'est étonnant comme sa voix me rappelle celle de Claire d'Asta. Le style de chansons aussi.
RépondreSupprimerJ'adore ce genre de voix... :)))
Merci pour la découverte !
Avec plaisir, je pensais qu'elle n'avait pas du passer la frontière, c'est resté très local, mais c'est joli, ah je l'ai déjà dit :-()
SupprimerComme en poésie, il y a une Rime pauvre (la Face A assez plate) et une Rime riche (la B est beaucoup mieux rythmée et orchestrée)
RépondreSupprimerPour ma part, j'aurais inversé l'ordre des faces...
Face B supérieure, on est du même avis, mais c'est toujours pas du rock n' roll, yeahhhhhhh
Supprimerje préfère largement la face B aussi... j'avais une appréhension à la vue de Henri Des dans les crédits, mais ouf, on est passé à côté de "Il faut que tu te laves"...
RépondreSupprimerHenri a quand même commis quelques petites chansonnettes fort écoutable, tout comme le titre de l'Eurovision que j'avais bien aimé.
SupprimerEt pour cause… la face B était orchestrée par Jean Bouchety, célèbre arrangeur qui avait travaillé, entres autres, pour Michel Polnareff
RépondreSupprimerC'est vrai que le savoir-faire de certains arrangeurs peut sauver un projet.
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