Monty
EP de 1968
Monty nous offre 4 nouveaux (!?) titres en cette année 1968 et toujours accompagné de l'inusable Ibach, l'artiste nous offre un joli EP, comme il savait si bien les produire.
Ma préférence va au titre "Quand on revoit sa mère" plein de tendresse et jamais ressorti en cd et autres compilations de l'artiste.
Stéphane m'a fait parvenir un petit mail sympa pour que je partage cette information : Monty nous annonce la sortie d'un livre pour la rentrée littéraire et qui contient de nombreuses anecdotes et il nous dévoile plein de choses inattendues, donc on se réjouit de lire tout ça et d'apprendre qu'il était amoureux "secret" de Sheila (peut-être).
N'empêche que c'est qui les plus forts ? Évidemment c'est les verts !!!
RépondreSupprimer:-)
Tu parles d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître.
SupprimerEncore un qui va faire Monty le thermomètre.
RépondreSupprimerA l'époque les pochettes coûtaient plus cher que le disque. Ici c'est du double cartonné brillant !
Côté chansons c'est du bon Monty. Les orchestrations et choeurs toujours grandioses. 😉
C'est la chaleur qui fait cet effet, tout en jeux de mots... le disque est sympa et il est vrai chez Barclay / Riviera ,Nicoletta avait aussi de super pochettes pour ces EP.
SupprimerDéjà de trouver ici un "Monty" que je n'avais pas est un beau cadeau , mais découvrir cette chanson où il dit que pour sa mère on n'a jamais grandi me semble tellement vrai
RépondreSupprimerPour la mienne en tout cas , du haut de ces 91 ans , je resterai toujours le petit
Ah il n'y a rien de plus beau qu'une maman, pour tous ceux qui en ont encore une, c'est un vrai cadeau.
SupprimerJe ne l'ai pas non plus et l'extrait est vraiment beau. Merci pour cet EP.
RépondreSupprimerSinon, voilà un livre inattendu que j'achèterai volontiers !
Je suis aussi très curieux de connaître quelques ragots de plus :-) même si cela ne nous regarde pas...
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